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Marcher sur la tête c’est probablement ce que nous réussissons à faire de mieux en France. Véritables acrobates fiscaux, les Français jouent avec la fiscalité la plus complexe et la plus paradoxale du monde. Dernière idée brillante en la matière, taxer les allocations familiales...
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La fiscalité en France c’est un grand bazar, rempli de paradoxes en tout genre. Le plus flagrant, la niche fiscale par excellence, le livret A. Une épargne défiscalisée dont l’Etat est le payeur d’intérêt. Un non-sens complet, unique en Europe, désuet depuis son lancement sous Napoléon, mais conservé uniquement à des fins électoralistes. Le Livret A n’a pourtant rien de populaire, il profite aux plus aisés, les plus modestes n’ayant pas avantage à l’utiliser. Les Français, fâchés avec la finance, ne comprennent pas, et plus de 60 millions de livrets A sont ouverts. Passons...
Les 454 niches fiscales permettant d’échapper peu ou proue à toute imposition ne sont pas non plus sujettes à caution. Les rabotages divers et variés amoindrissent leurs avantages années après années. Il n’en reste pas moins vrai qu’un contribuable souhaitant ne pas payer d’impôt pourra toujours le faire, il suffira alors d’investir dans l’immobilier avec travaux, via le dispositif Malraux, restant que peu plafonné. Mais il est vrai, qu’il faut investir des sommes importantes pour annuler son imposition. Encore une fois, seuls les plus riches pourront le faire...
Le non-sens continue. Une famille dont les revenus ne suffisent pas à payer ses fins de mois, cherchera évidemment à réduire ses dépenses en premier, quitte à pouvoir augmenter ses revenus par la suite.
Pour l’Etat Français, non, ne réduisons surtout pas les dépenses, mais cherchons à augmenter nos recettes. Evidemment, avec le déficit grandissant la fiscalité a considérablement augmenté. Ce serrage de vis n’y fera rien, car selon l’adage bien connu, trop d’impôt, tue l’impôt. Les recettes fiscales vont donc diminuer en 2013 de façon très logique. L’absence de croissance face à une imposition accrue ne fera qu’aggraver l a situation. Nos politiques ne sont pas des économistes, c’est bien notre drame.
Toujours est-il que les idées fusent chez nos politiques de tous bords. Comment ramener de l’argent dans les caisses de l’Etat ? Comment taxer plus les Français ?
Dernière idée brillante en date, remise sur le tapis, issue non pas d’un politique, mais du premier président de la Cour des Comptes : Taxer les allocations familiales !
Le premier président de la Cour des comptes, Didier Migaud, a suggéré dimanche que fiscaliser les prestations familiales pouvait être une piste pour augmenter les recettes de l’Etat.
D’après le Journal du Dimanche, c’est un des scenarios sur lequel travaille le gouvernement.
"Les prestations familiales, les allocations familiales, le fait qu’elle soient fiscalisées ou pas, c’est un sujet qui peut être mis sur la table", a estimé M. Migaud sur les ondes de la radio Europe 1.
"On peut considérer que c’est une prestation qui rentre dans les revenus et qui peut d’une certaine façon être fiscalisée", a-t-il expliqué lors de l’émission Le Grand Rendez-vous.
Le premier président de la Cour des comptes a également estimé que fiscaliser la majoration des retraites pour les parents de trois enfants pourrait rapporter 800 millions d’euros à l’Etat.
Ces majorations "lorsque vous avez trois enfants elles ne sont pas fiscalisées. Le fait de les fiscaliser, c’est 800 millions d’euros supplémentaires", a-t-il déclaré.
Le Journal du Dimanche écrit que le gouvernement pourrait soumettre les allocations familiales à l’impôt ou bien encore les baisser "d’un milliard l’an prochain puis de 1,5 milliard supplémentaire l’année suivante".
Dans ce cas, "les allocations seraient plafonnées ou accordées sous conditions de ressources comme cela est déjà le cas pour la prestation d’accueil du jeune enfant (paje) ou lesaides au logement", ajoute l’hebdomadaire.
Autres mesures d’économies, selon le JDD, le gel des retraites et la réduction des aides aux entreprises.
Le gouvernement chercherait à ce que les pensions du régime général progressent moins vite que l’inflation. "S’agissant du régime général l’objectif de Bercy est d’économiser environ 1 milliard d’euros dès 2014" puis de 6 à 7 milliards à horizon 2020, écrit le journal.
Dans son rapport annuel publié mardi, la Cour recommande que l’effort de redressement budgétaire de la France porte désormais plus sur des réductions de dépenses, après l’augmentation des recettes, mais estime que le travail de réduction de "niches fiscales" n’est pas achevé, a ajouté M. Migaud.
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